Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

]Squall[ no sekai

26 février 2006

Quelques mots pas forcément utiles

Non, le blog n'est pas mort! Enfin, pas tout à fait. J'ai beaucoup envie d'écrire en ce moment, mais je ne sais pas trop sur quoi. Peut-être le moment d'entamer une fanfiction? Je dois dire que l'inspiration me manque un peu. Et puis mes diverses tentatives du passé ne sont guère encourageantes. D'ailleurs j'ai perdu presque toute trace de mes récits lors du crash de mon disque dur l'été dernier T.T

En fait dès que j'essaie d'écrire quelque chose qui s'éloigne un minimum d'une expérience vécue, c'est nullissime, inintéressant ou complètement niais. Mais je ne désespère pas, et quand je vois mon imagination s'emballer sur un final fantasy ou une oeuvre katsurienne, l'espoir revient de pouvoir un jour pondre une fiction plaisante à lire.

Publicité
14 février 2006

Chanson d'amour, hystérie du moment, écrans,



Chanson d'amour, hystérie du moment, écrans, romans, tout l'temps

 

Des p'tits, des lourds, des vrais, d'autres du flan,

 

C'est trop finissons-en

 

Ça dégouline de tous les magazines

 

Ça colle aux doigts, ça colle au coeur, c'est dégoûtant

 

En vérité

 

Qui pourrait m'en citer

 

Un seul qui lui ait donné

 

Plus de liberté


   

Des amours propres, les plus sales, écoeurants

 

J'en ai croisés souvent

 

Enfants, parents, photos, sourires, charmant!

 

Nés pour venger tons leers échecs, donnant donnant

 

Amours "vautour", ou "vitrine", j'en ai vus

 

Mais des amours tout court, ça court pas les rues


   

Abus d'confiance, vulgaire anesthésique

 

  Inconscience pathétique

 

Ça peut cacher nos misères un moment

 

Comme un alcool, comme une drogue, un paravent

 

Mais y a toujours un de ces sales matins où l'on se dit que l'amour

 

Ça sert à rien


   

Trêve de discours, y a rien d'pire que l'amour

 

  Sauf de ne pas aimer

 

   Autant le faire, c'est clair

 

  Et puis se taire


© Jean Jacques Goldman


30 novembre 2005

Trêve de Noël

pause


Juste pour annoncer qu'il n'y aura pas de mise à jour du blog pour une période encore indéterminée. Non par manque de motivation ou d'inspiration, mais parce que je n'ai plus assez de temps pour m'en occuper comme je le voudrais.

Je reviendrai peut-être, si mes différents projets personnels me le permettent ou si la demande est forte (ce qui n'est pas une raison pour polluer gratuitement ma boîte mail, merci), mais pas avant l'année prochaine. Le blog reste donc en pause d'ici là.

Sur ce, je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année, et surtout éclatez-vous bien la panse à coups de foie gras tant que la grippe aviaire n'est pas encore là !

16 novembre 2005

Final Fantasy XII (Playable Demo Version)

ff12_logo

Ayant enfin pu me procurer la démo de FFXII sortie hier aux Etats-Unis avec Dragon Quest VIII, c'est avec plaisir que je reviens ici pour livrer quelques réactions à chaud.

L'intrigue du jeu est à peine révélée par les 2 bandes annonces présentes au début et à la fin de la démo. Une histoire de princesse et de pirates dans un contexte très guerrier... L'analogie avec FFIX est plus que tentante, mais très vite eclipsée par une autre qui saute plus que jamais aux yeux : Star Wars! De l'ambiance d'une rue de marché cosmopolite, un défilé militaire, des vaisseaux spatiaux, et même jusqu'à leurs bruitages, et pour couronner le tout les transitions entre les scènes, tout dans cette vidéo évoque la double trilogie de Lucas.

Mais entrons dans le jeu proprement dit. Nous voici donc sur une jolie plage avec 3 héros portant déjà armes et boucliers. Au loin on distingue les ennemis errant tranquillement, ou s'attaquant carrément entre eux. En s'approchant, les héros dégainent automatiquement leurs armes, et le combat s'engage sans aucune transition. Nous dirigeons le leader du groupe, et nous pouvons nous déplacer librement autour du monstre à la manière d'un ARPG ou d'un MMORPG. En appuyant sur X, le menu des actions s'ouvre, permettant d'attaquer, de lancer des magies ou d'utiliser un objet. Une fois l'action choisie, une barre d'attente se charge, et l'action s'effectue une fois celle-ci complètement remplie.

Un peu plus de détails maintenant. Dans le menu, appuyer sur les flèches droite ou gauche donne le menu d'actions des autres personnages, et permet de leur assigner des actions sans pour autant contrôler leur déplacement. Pour prendre totalement le contrôle d'un héros, il faut le faire passer "leader", en appuyant sur haut ou bas hors d'un menu, pour ensuite sélectionner le nouveau leader. Cette opérations se révèle malheureusement assez fastidieuse, surtout au beau milieu d'un combat.

Dans le menu d'un personnage, une option "GAMBIT" permet de décider si l'IA doit faire exécuter automatiquement des actions par le personnage ou pas. Ce qui veut dire qu'avec cette option à "ON" sur tous les héros on peut sans problème lacher la manette pendant un combat... Plutot étrange. Alors qu'au contraire, tous à "OFF" représente un vrai challenge. Peut-être une manière de s'adapter au niveau des différents joueurs?

La démo propose ainsi 2 "dongeons". Le premier, sur la plage, dont l'objectif est de tuer 3 bestioles d'une race précise afin de réveiller et faire sa fête à un méchant T-Rex. L'espace est assez vaste mais néanmoins délimité par de très moches points jaunes, que j'espère absents du jeu final. Autre mocheté effrayante, le message "Stage Complete" une fois le boss battu fait affreusement penser à un Dongeon-RPG, espérons vraiment que ce n'est que pour les besoins de la démo!

La seconde partie de la démo est cette fois un vrai dongeon fermé, avec des ennemis similaires au premier. Le but est de tuer une adamantoise qui donne une clef vers un boss encore plus terrible. L'équipe est totalement différente, permettant d'avoir un aperçu des différents personnages de FFXII. La grosse différence entre les 2 niveaux est que pour le premier l'action se fige lors de l'ouverture d'un menu, tandis que le jeu continue dans le deuxième. Si la perspective d'un jeu plus dynamique paraît attrayante, en pratique la tentation est alors grande de laisser l'IA s'occuper des actions par manque de temps ou parce que le jeu devient assez brouillon. Mais je suppose aussi que tout cela demande un petit temps d'adaptation.

Du côté graphique, l'ensemble est beau sans être époustouflant, comme on serait en droit d'attendre d'un FF si longtemps repoussé. On est plutôt face à un FFXI amélioré... Deux choses ont pourtant retenu mon attention : les bombes, magnifiques, et les invocations, synonymes comme d'habitude d'un déluge d'effets visuels en tout genre.

Pour la bande-son, je suis assez déçu. La patte de Uematsu-sama a disparu, et on se retrouve avec des musiques trop proches de FFTactics, collant certes parfaitement à l'univers d'Ivalice, mais à mon sens pas vraiment adaptées à un RPG. Encore une fois, ma seule satisfaction concerne les invocations, pendant lesquelles le changement de musique donne une bouffée d'air pur.

Au final, difficile d'arriver à un avis vraiment positif ou négatif après quelques dizaines de minutes passées sur cette démo. Même si je n'aime pas les musiques et que je trouve que le jouabilité n'est pas au top, notamment lors du changement de leader, le fun est quand même bien présent dans les combats, et c'est peut-être le principal. Pour l'histoire, je ne me fais vraiment pas de souci, ce sera énorme, comme d'habitude! Il reste à espérer que Matsuno, le créateur de ce FFXII, fasse un vrai Final Fantasy, et ne tombe pas dans des styles qu'il connaît trop bien, tels que le Dongeon-RPG (Vagrant Story) ou le Tactical-RPG (Final Fantasy Tactics). Wait & see donc, mais l'attente sera longue !

17 octobre 2005

I''S Pure

Après l'énorme déception suscitée par les 2 OAV de I''s sorties il y a quelques années, j'ai appris il y a quelques jours la sortie de 6 nouvelles OAV, baptisées I''S Pure.

Tout à ma joie de pouvoir enfin retrouver les héros de mon manga favori, et espérant que tout va être fait pour faire oublier l'énorme ratage que j'ai évoqué précédemment, je me rue sur les liens officiels :

http://www.liverp.co.jp/dvd_video/is_vol1.html
http://www.liverp.co.jp/dvd_video/is_vol0.html

Très intéressant, le 1e lien nous indique que la première OAV s'intitulera "Au commencement" en français dans le texte, et qu'elle sortira le 9 décembre au Japon.

Mais quelque chose me gêne dans le dessin... Et effectivement, sur le second lien on peut voir que le character design a encore une fois été confié a un certain Rin Shin, déjà coupable d'avoir massacré mes persos chéris dans les premières OAV. Non, le travail de ce type n'est pas du tout à la hauteur de ce qu'on pourrait décemment attendre sur un manga à l'esthétisme irréprochable tel que I''S. Heureusement le scénariste a changé, mais le character designer aurait dû partir avec. Et franchement je suis dégoûté. Les autres mangas de Katsura ont eu droit a des adaptations animées honorables (Wingman, Video Girl, DNA²), alors pourquoi continuer à décevoir les fans avec de telles monstruosités, au lieu de tirer les leçons du passé ?

Publicité
4 octobre 2005

Final Fantasy VII : Advent Children

Après l'énorme échec de The Spirits Within, Square revient dans le milieu du cinéma en images de synthèse.
Après le flop de Final Fantasy X-2, Square nous propose à nouveau la suite d'un titre de sa série fétiche.

Défi plutôt difficile, non ? Essayer de contenter les millions de fans du jeu le plus vendu de la firme, il fallait oser. Et y mettre les moyens. Mais commençons plutôt par l'histoire.

Deux ans après la destruction du météore. Alors que la planète se remet lentement de ses blessures, les habitants de Midgar, ayant été plus ou moins en contact avec la Rivière de la Vie, contractent un à un une étrange maladie baptisée Géostigma. Cloud (nb : je n'arrive plus à l'appeler "Clad", désolé pour les puristes de la traduction française) mène une vie solitaire, remplissant tout de même la fonction de transporteur pour la "Strife Delivery Service", société créée par Tifa à la place du 7e Ciel. Mais une nouvelle menace commence à poindre, sous la forme de 3 hommes se prétendant "enfants de Jénova", et prêts à tout pour retrouver leur mère et accomplir la fameuse Réunion. De quoi réveiller le spectre de la Shinra et des souvenirs douloureux pour Cloud.

Comme le film n'est pas encore sorti dans nos contrées, je m'arrête là dans le récit pour ne rien spoiler.

Pour faire court : ce film est une tuerie. Graphismes irréprochables, animation incroyable, combats dantesques, scènes anthologiques, bon scénario, musiques endiablées, clins d'oeils innombrables, charisme des personnages au top, tout y est, et les superlatifs manquent pour décrire toute la justesse de ce chef d'oeuvre. Voilà, après le cri du coeur, entrons un peu dans le détail.

Les graphismes, même moins réalistes que dans FFTSW, n'ont rien à envier à ce dernier. Le même soin a été apporté aux visages, et nos personnages préférés sont plus beaux que jamais. Tifa se gratifie ainsi d'un style à la Matrix fort bien trouvé, Vincent a plus de classe que jamais et les traits de Rouge 13 sont affinés pour révéler toute son apparence bestiale. Les autres sont aussi présents, pour notre plus grand plaisir, même si on pourrait déplorer que leur présence ne soit presque qu'anecdotique.

Les combats... Après la trilogie Matrix, j'ai fait un rêve. J'ai rêvé qu'un film d'animation pourrait un jour aller au-delà de ces affrontements déjà géniaux dans leur dynamisme et leur mise en scène. Et si on pouvait y ajouter des épées, ce serait le summum. Et Nomura l'a fait. La perfection est dans ces combats, à mains nues ou à l'arme blanche, aussi bien dans la mise en scène, les plans ou les chorégraphies (grandement inspirées des coups et limit breaks du jeu). Véritables délices pour les yeux, on ne peut qu'être déçu à chaque fois que ce soit déjà fini... pour mieux recommencer, et en encore plus beau, quelques minutes après!

Et la musique, interprétée en grande partie par les Black Mages, colle parfaitement à tout ce déluge d'action pure. On sent enfin que le groupe se déchaîne, les reprises de thèmes cultes du jeu sont magnifiques, et le guitariste s'emporte tellement qu'il faut parfois plusieurs écoutes d'un morceau pour trouver de quelle musique originale il est inspiré! Je pense notamment aux reprises des thèmes de combat et de boss, quasiment méconnaissables. Les créations originales sont aussi à applaudir, collant parfaitement à l'animation, et toujours d'une grandeur et d'un rythme effréné parfait dans chaque scène. Finalement, le seul regret sur la musique pourrait concerner les reprises au piano, absolument identiques à celles de l'album piano collections sorti il y a quelques mois. En résumé, ruez-vous sur cet OST d'une qualité rare.

Et enfin, le scénario... Je dirai peu de choses, car bien qu'on parle de Final Fantasy, l'histoire n'est pas la raison qui doit pousser à voir ce film. Alors oui, tout ça est loin d'être aussi profond que dans le jeu, mais en moins de 2 heures, et avec toute l'action qu'il y a autour, il aurait été difficile de construire un vrai scénario digne d'un jeu de 60 heures. Mais le tout reste tout de même parfaitement cohérent, et réserve bien des surprises... De nombreux clins d'oeil et autres références parsèment toute l'oeuvre, et il y en a pour tous les gouts, des plus évidents (scène du début identique à la toute fin du jeu, musiques, limit breaks des personnages), à certains plus difficiles à voir (l'épée de Zack que Cloud plante sur le lieu de sa mort, les affiches Loveless).

Au final, je ne peux pas conclure ce post sans un grand Merci. Merci à Square, et plus precisément Tetsuya Nomura, Nobuo Uematsu & The Black Mages, pour cette bonne heure et demie de pur bonheur, de vrai plaisir, de beauté suprême. Un vrai film de rêve, qui est au cinéma ce que FFVII est au jeu vidéo. Ce qui se fait de mieux, tout simplement.

2 octobre 2005

Je n'ai pas abandonné !

Après plus de 4 mois d'absence, me voici en train de déterrer ce pauvre blog laissé à l'abandon faute de temps et surtout de motivation.

Et ça tombe bien, les vacances furent riches en découvertes de tous genres. Du très british Douglas Adams, redevenu populaire grâce au film H2G2, au magnifiquissime Final Fantasy VII : Advent Children, mes coups de coeur de l'été seront assurément présents dans la suite de la renaissance du premier blog xanthoderme au monde ! (oui ce mot existe, et non la phrase n'a en effet pas beaucoup de sens, mais dans ce pauvre monde si on n'est pas "le plus quelque chose" ou "le premier autre chose" on n'est rien.... et en plus vous venez d'apprendre un mot que vous n'utiliserez jamais, décidément je me demande ce que vous fichez ici)

J'essaierai donc de faire au moins un post par catégorie dans les prochains jours (semaines ?), alors restez dans le coin, cet endroit est loin d'être mort !

Et au fait, n'allez pas voir Night Watch, c'est vraiment pourri.

24 mai 2005

Ichigo 100%

Encore un manga, encore une comédie sentimentale, mais tout de même une petite infidélité à Katsura pour une fois...

Junpei Manaka est un élève de 3e qui se passionne pour le cinéma, en passant ses journées à rêver des futurs films qu'il tournera. Mais un jour qu'il flane sur le toit de l'école, une superbe fille lui tombe littéralement dessus, lui offrant une superbe vue sur sa.. culotte à motifs de fraise. La fille s'enfuit très vite sans que Junpei ait pu voir son visage. Emu par la beauté de la scène qu'il vient de vivre, et désireux de la reproduire dans un film, il se lance alors à la recherche de la jolie jeune fille. Il doit surement s'agir de Tsukasa, véritable star du collège. Mais un indice reste troublant : juste après la rencontre, Junpei a trouvé sur le toit un cahier appartenant à Toujo Aya, une fille de sa classe dont le look peu avantageux laisse planer le doute sur son lien avec la mystérieuse inconnue.

Voici donc une oeuvre dans la pure lignée de Vidéo Girl et I''S : des amours lycéennes, des situations humoristiques à la limite du loufoque, et des filles joliment dessinées... Avec peut-être un côté un peu plus pervers et un certain humour empruntés à Love Hina. Que du bon, en somme !

La bonne nouvelle, c'est que le manga n'étant pas sorti en France, on peut le trouver en scan sur Internet. Voici d'ailleurs l'adresse que je vous conseille, où vous pourrez lire le manga directement (en anglais) :

N'hésitez pas à vous faire votre propre opinion, cette oeuvre vaut assurément le coup d'oeil !

Maintenant pour ceux qui ne supportent pas les traductions de fans (je ne vise personne :P) ou qui veulent les mangas papier pour la collection, et bien évidemment qui maîtrisent la langue japonaise, vous pouvez les acheter à prix correct là :

Si quelqu'un les trouve moins cher ailleurs, il peut toujours laisser l'adresse en commentaire ^^

A savoir, un anime tiré du manga est sorti il y a peu au Japon. L'adaptation semble correcte, mais je n'ai vu que les premiers épisodes. Pour le moment je conseille donc plutôt le manga.

13 avril 2005

D.N.A²

Pour mon grand retour sur la scène blogesque, j'ai encore une fois choisi un manga de Katsura...

Dans le futur, la Terre est amenée à être surpeuplée par la faute d'un seul homme : Junta Momonari, dit "le Méga Playboy". Ce dernier aurait en effet fait des enfants à plus de 100 femmes, et ces mêmes enfants ont suivi la voie de leur père. Karin Aoï, opératrice ADN dans le futur, est alors envoyée vers notre époque pour résoudre le problème à sa source. Sa mission : changer l'ADN de Junta durant son adolescence afin de l'empêcher de devenir le Méga Playboy. Mais pourtant Junta n'a vraiment pas l'air d'un futur playboy, en particulier à cause d'une certaine "allergie", qui le fait vomir dès que ses relations avec une fille deviennent trop intimes. Mais une petite erreur de Karin va rendre l'ADN de Junta parfaitement incontrôlable et accélérer le réveil de l'impitoyable et pourtant irrésistible Méga Playboy.

Ce que l'on peut dire d'emblée, c'est que ce manga ne brille pas par sa finesse... Humour potache, limite scatologique, on sent bien qu'après Video Girl, Katsura avait envie de se lacher sur une comédie pseudo-sentimentale. A aucun moment le manga ne se prend au sérieux, et il n'y a qu'à voir les personnages invalider les paradoxes temporels mis en place par l'auteur pour s'en convaincre.

Bien que totalement loufoque, le scénario parvient à tenir le lecteur en haleine, même si on regrettera que l'action prenne trop le pas sur l'histoire ou les sentiments au fil des tomes.

Les sentiments... Partie incontournable des mangas de Katsura, on a presque l'impression de voir dans ce manga une espèce d'auto-dérision de son travail antérieur. Mais il faut dire qu'entre un type allergique incapable d'approcher une fille et un playboy qui les fait toutes tomber en un clin d'oeil, il aurait été difficile de sauver le sérieux des relations entre les personnages...

Au point de vue dessin, même si le manga est antérieur à I''S, on ne peut s'empêcher d'être déçu. En effet, il semble que seul le personnage de Karin a été travaillé, alors que les autres ne ressemblent qu'à de pâles copies d'autres oeuvres de Katsura. Le comble reste Junta, pour qui on a carrément l'impression que le design a été pompé sur Toriyama!

En résumé, le manga s'inscrit étrangement comme un condensé de toute l'oeuvre de Katsura, avec ses 3 sujets fétiches réunis : la science-fiction, les sentiments et les super-héros, le tout agrémenté d'un humour omniprésent. A mon humble avis c'est pourtant loin d'être son oeuvre la plus réussie, même si c'est celle qui a eu droit a la meilleure adaptation TV. Mais que ce soit le manga ou l'animé, ça vaut tout de même le coup d'oeil à l'occasion. Moi je vous laisse, je vais relire I''S pour la 36e fois.

13 mars 2005

Adieu Japon ...

Oui je sais, Squall fait son Sto, ça fait déjà plus d'un mois que je n'ai rien posté !

Alors juste un petit blabla pour annoncer notre échec dans la recherche d'un stage au Japon. La durée du stage était trop courte (< 3 mois) et les entreprises n'étaient pas vraiment intéressées.

De toute façon, on réessaiera l'an prochain ! Avec un stage plus long, ça passera forcément !!

En attendant, pour ceux qui nourissent un projet similaire au nôtre, il reste encore le blog de Sto, véritable mine d'informations sur les différentes démarches à effectuer.
Publicité
1 2 3 4 > >>
Archives
Publicité
Publicité